SGH.LaSolitude

SGH.LaSolitude

 

 

 

Bonjour Lecteur, lectrice,

 

 

 

Pour faire suite à la demande d’April P., je ferais deux articles sur la Solitude; d’où je m’inspire largement d’une manga japonaise, écrite par Kabi Nagata, sous le titre original «Hitori Kôkan Nikki1».

 

Je vais abordé la solitude sous trois angles, dont le premier en cette présentation :

 

  • Solitude pesante où le sentiment d’abandon

 

~ Au prochain essai ~

 

  • Solitude apaisante où profiter de son exil loin de tous.

  • L’Autonomie affective : un cadeau à se faire… aimer être seul autant qu’aimer la compagnie des autres

 

 

 

L’album de Kabi Nagata, est une narration autobiographique avec des extraits de son journal écrit et/ou celle-ci (celle du temps présent) écrit des commentaires et souhaits à la Kabi Nagata (version du futur).

 

Étant donné ce que la situation pandémique actuelle a généré au Québec comme aussi ailleurs, son lot de souffrances et d’anxiétés hors du commun. J’estime qu’aborder ce sujet peux aider certaines personnes afin de mieux cerné et apprivoisé le fait d’être en situation d’isolement.

 

Cela concerne les personnes vivant seules ou encore celles-là vivant en couple et en famille, car la situation de vivre en une proximité forcée en des espaces restreints. Certains on dus arrêter de travailler, d’autres ont du vivre ensemble par cause des heures de couvre-feux, et autres restrictions reliées à la pandémie Covid-19).

 

 

 

Si certaines personnes doivent endurer un isolement forcé avec des liens sociaux plus faibles, d’autres ont souffert d’un manque d’espace vital à cause du rassemblement obligé de vivre plus étroitement proche. Excès de claustration pour les uns et manque de temps à soi pour d’autres.

 

Cet essai à pour but de présenter des réflexions utiles sur les aspects exposés par la solitude parfois subie, parfois choisie.

 

 

 

~ Solitude pesante, quatre images ci-bas ~

 

 

 

L’autrice de la Manga va nous fournir des réflexions sur ces prises de conscience par rapport au : «sens exacerbé du CHU trop seul» :

 

 

 

– Se sentir tétanisée et frigorifiée (photo du cadre p.19 bas)

 

 

 

– Se sentir plus seul avec des proches que seul physiquement (cliché du cadre p.40 bas)

 

 

 

– Une définition partielle, mais tout à fait décente sur le sens d’être à l’écart… si seul (cliché en p.43 haut)

 

 

 

– L’absence de validation des parents ou gens aimants nous rend fragilisés, alors plus difficile d’assumer son état de personne unique, autrement dit : manque d’amour inconditionnel défavorise sa croissance de l’autonomie affective. Dès lors, sentiment persistant de ne pas appartenir nulle part, sens de lourdeur avec l’état d’être seul (extrait du cadre en p.83 en haut)

 

1Publiée en français par Pika édition 2020

 

~ Solitude pesante, trois autres clichés si bas ~

 

 

 

– L’amour vrai que je caractérise comme être aimé pour soi-même afin de pour sortir de l’exil dénommé : «L’angoissante solitude» (voir cadre p.110 bas)

 

 

 

– Des pensées obsessivement axées sur soi-même peuvent créer un sens pesant d’isolement… comment s’en sortir? (voir cadre p.158 au centre)

 

 

 

– L’autrice mentionne aussi la non-réciprocité en ses liens affectifs comme un accablement (voir cadre en page 167 en bas)

 

 

 

Donc, j’ai résumé quelques signes ou l’isolement nous met à mal et expose nos carences de tout genre: affective,psychique,émotionnelle, sociale, mauvaise estime de soi.

 

Dans le prochain blogue, j’aborderais des idées constructives sur le thème.

 

 

 

 

 

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 Il y a aussi la reprise du classique de Pierre Bordage «Les guerriers du Silence»; cycle 1 seulement que j’ai lu, laquelle a été remouler à la manière de P. Ogaki pour faire une série de quatre tomes. Hélas, le rythme est à mon avis trop rapide, mais comme l’œuvre de Bordage contenait plus de 1800 pages… y’a pas le choix de défilé à vitesse… grand V. Un formidable effort de synthèse a été fait, je l’accorde.

Le seul point un peu faible est qu’on a surexploité les séquences d’actions, à la mode hollywoodienne, alors qu’à mon avis, les auteurs auraient pu rehausser via les dialogues le côté résolument philosophique du roman; ce qui m’a frappé entre autres est ces deux points à :

 

  • Des dérives d’une religion totalitaire associée à un régime politique mégalomane et assoiffé tellement de contraindre les divergents; ça ressemble étrangement au style de pensée unique que les médias et gouvernements nous proposent depuis le début de la crise du Covid-19 de la depuis mars 2020…

  • Secundo, du rôle important que peut jouer une personne ordinaire, en l’occurrence Tixy Otty, héros majeur des «Guerriers du Silence1», homme à la vie morne, qui noie son ennui dans l’alcool, l’indifférence à soi-même et aux autres, se complaisant en une existence médiocre. Celui-ci devient graduellement un héros extraordinaire, pas dû à ces mérites seuls, mais surtout en s’entourant d’une équipe avec lui, et grâce à l’appui de sa partenaire de vie.

 

Bref, que vous lisiez le roman ou les BD, chaque version d’un ou des récits vous apportera de beaux moments de plaisir et de réflexion.

 

 

 

Cordialement, El Griffon