SGA.anecdotesFaits.KISS

SGA.KissAnecdotes.fait divers

 

 

Les citations sont inspirées du livre « Nothin to lose », par Paul Stanley, Gene Simmons et Ken Sharp, aux éditions Harper Collins Publishers, traduction en français par mon fidèle logiciel Antidote.

Comme Kiss est le groupe bâti par Paul Stanley et Gene Simmons; cette suite à la biographie de Paul Stanley s'inscrit dans l'ordre naturel des choses surtout lorsqu'il s'agit d'un musicien de stature international. Je ne suivrais que les éléments majeurs du groupe, lequel est le but d'une synthèse telle que je me propose, ceux qui en veulent plus, on le loisir d'aller le chercher en des bouquins comme celui-ci ou une autre version. Allons-y :

 

***Une ambition soutenue avec un désir de créativité***

 

  • Page44; Désir ferme de percer le marché musical et débrouillardise en les premiers temps du Groupe :

« Avec peu d'argent, mais beaucoup d'ingéniosité, KISS bricolait des costumes rudimentaires et équipement de scène des sources les plus improbables… »

  • Paul et Gene dirent à Ace (alors nouveau guitariste) :

« Regarde, on est pas le meilleur groupe au monde, mais on va faire de quoi pour attirer l'attention »

 

  • Page 249 : de la détermination à revendre, surtout en les temps avant d'avoir fait sa marque, bien sûr d'autres bands rivalisaient avec eux :

« Les tournées en les premiers jours étaient épuisantes et excitantes. Je pense qu'on on était payé 60 $/par semaine, mais on se sentait comme si on était en un rêve....Il y avait une fantastique camaraderie dans le groupe en dépit de nos différences, et les gens autour de nous partageaient cette passion. »

 

  • Une passion à soutenir le groupe naissant; Joyce Bogart-Trabulus (page 129). En ces termes de l'assistante-gérante, œuvrant avec Bill Autcoin (gérant), l'état d'esprit était ainsi :

« On travaillait ensemble comme une équipe sur chaque aspect de leurs carrières… on aimait travailler l'un avec l'autre. Comme Bill, Neil et moi, KISS avait toujours un sens de l'aventure — voyons donc quel genre de chaos contrôlé on peut créer. »

 

 

***Philosophie professionnelle, personnelle et réactions au groupe***

 

  • Sur les réactions au rock à l'époque :

« La police venait souvent parce que l'endroit était si bruyante et paqueté de gens… les voisins appelaient les flics. Ils n'aimaient vraiment pas l'élément (rock'n'roll). »

 

  • Sur la valeur-phare de la philosophie KISS; tel qu'articulé par Gene Simmons; co-fondateur :

« Du jour 1, débutant avec nos premier albums, nos lyriques étaient une célébration de la vie… les paroles n'étaient pas profonde et ne prêchaient pas sur les secrets de la vie et ce que ça signifiait. »

 

  • KISS ne laisse pas indifférent; il était soit aimé, soit hait. Des réactions polarisées face au band, parfois même démonisées par des fondamentalistes; par exemple, on a dit sur le nom du groupe que ça voulait dire : « Kings In Satan's Service », pas très élogieux en effet! Et malheureusement gratuit et non fondé comme accusation.

« Ici et là, KISS était le groupe que les critiques aimaient détesté. Dans la décade 1970, des magazines prominents comme Rolling Stone & Crawdaddy, prenait régulièrement comme cible le Band, dénigrant KISS comme sans talent, bozos ou pire. »

 

  • Sur les excès de son époque, Paul Stanley dit :

« Si tu voyais pas la drogue, tu voyais l'effet. Les gens étaient hors d'eux-mêmes. La plupart des personnes semblaient folles, sauvages et confuses. Voyez, c'était une époque excessive. C'était le temps du Studio 54 et d'incroyable excès dans le : sexe, drogue et rock'n'roll. »

 

  • en page 71, 162, 442 & 369

 

Élément-clef du succès : entourez-vous des bonnes personnes et que la magie opère…

 

  • Un gérant taillé sur mesure pour les appuyer. Un Encourageur avec son assistante Joyce et Neil (producteur)

    « Comme le gérant des Beatles, Brian Epstein, Bill Autcoin était un visionnaire créatif qui inspirait KISS à penser GRAND » il ne disait jamais non. Il avait une vision et voulait que KISS soit le plus grand groupe au monde. Il encourageait toujours Paul et Gene à venir avec de nouvelles idées pour faire du band plus spectaculaire et plus spécial. Il pensait totalement hors de la boîte.

     

  • Exemple d'une idée promotionnelle de Neil (producteur musical), parmi plusieurs :

    « C'était une partie de ce que Neil fit. Il reconnaissait qu'il fallait créer un impact fort autour du groupe et c'est arrivé après ce concours… The great KISS-off, un concours de baisers national. »

     

  • Une idée accrocheuse pour faire un album différent, du gérant Bill A.

    « KISS littéralement mettait de l'effort et de beaucoup d'énergie en tout ce qu'il faisait et éventuellement, leurs sueurs paya éventuellement avec l'album ALIVE. Alive frappa fort parce que le groupe était à son meilleur sur scène. Ce qui les captura le mieux car c'était cette énergie devant l'audience. »

     

  • en Page 120-125, 235 & 491

 

 

***Faits cocasses sur KISS***

 

  • Une foule surprise à Calgary, en 1974, en leurs premières années avant leur célébrité :

    « La réaction initiale de la foule fut assez tranquille. L'audience ne savait pas comment réagir à ce groupe hors norme… KISS était choquant et bizarre, mais par le temps que le concert fut terminé, il avait gagné la foule. »

  • Réaction de Paul S. lorsqu'il entend une chanson de son groupe, la première fois à la radio :

    « La première fois que j'entendis notre groupe à la radio, c'était une grosse affaire… j'étais à la maison pour manger avec mes parents, et je les attendais. À s'asseoir près de la radio et s'entendre soi-même chanter sur ça était époustouflant. »

     

  • Une amitié surprenante avec un groupe canadien, RUSH :

    « En 1974 & 1975, RUSH ouvrit 52 concerts pour KISS, et les groupes forgèrent une forte amitié et une camaraderie joueuse. Comme disait Alex Lifeson, chanteur de RUSH :

    — La chose clef qu'on a apprit de KISS est de toujours donner son 100 % en un concert. Être à son meilleur que tu peux et donner tout chaque soir. On a aussi appris l'importance de l'aspect visuel des spectacles, lequel est une partie d'être un artiste. »

     

  • Les légendes urbaines sur la langue de Gene Simmons :

    « Plus tard, il y avait beaucoup de rumeurs et de mythes urbains en les années 1970 sur ma langue-des choses folles comme j'ai reçu une transplantation de langue de vache ou que sous ma langue, il y avait un volet chirurgicalement fait pour la rendre plus longue. Rien de cela n'était vrai ».

 

 

 

  • en Page 219, 226, 375-378 et 204

     

Écrire commentaire

Commentaires: 0

 Il y a aussi la reprise du classique de Pierre Bordage «Les guerriers du Silence»; cycle 1 seulement que j’ai lu, laquelle a été remouler à la manière de P. Ogaki pour faire une série de quatre tomes. Hélas, le rythme est à mon avis trop rapide, mais comme l’œuvre de Bordage contenait plus de 1800 pages… y’a pas le choix de défilé à vitesse… grand V. Un formidable effort de synthèse a été fait, je l’accorde.

Le seul point un peu faible est qu’on a surexploité les séquences d’actions, à la mode hollywoodienne, alors qu’à mon avis, les auteurs auraient pu rehausser via les dialogues le côté résolument philosophique du roman; ce qui m’a frappé entre autres est ces deux points à :

 

  • Des dérives d’une religion totalitaire associée à un régime politique mégalomane et assoiffé tellement de contraindre les divergents; ça ressemble étrangement au style de pensée unique que les médias et gouvernements nous proposent depuis le début de la crise du Covid-19 de la depuis mars 2020…

  • Secundo, du rôle important que peut jouer une personne ordinaire, en l’occurrence Tixy Otty, héros majeur des «Guerriers du Silence1», homme à la vie morne, qui noie son ennui dans l’alcool, l’indifférence à soi-même et aux autres, se complaisant en une existence médiocre. Celui-ci devient graduellement un héros extraordinaire, pas dû à ces mérites seuls, mais surtout en s’entourant d’une équipe avec lui, et grâce à l’appui de sa partenaire de vie.

 

Bref, que vous lisiez le roman ou les BD, chaque version d’un ou des récits vous apportera de beaux moments de plaisir et de réflexion.

 

 

 

Cordialement, El Griffon