SGA.bio.Ginetteanecdotes&chansons

Bonjour,

 

En cet article, je vais vous divertir avec des évènements clefs du parcours de l'artiste. L'hiver passé, un article fut fait sur Elle; suivre le lien… ici une partie seulement, de Samuel Pradier (10-02-2020) :

https://www.journaldemontreal.com/2020/02/10/la-voix-ginette-reno-en-audition

 

« Coacher de jeunes talents est une chose que Ginette Reno fait peu. “Il y a parfois des écoles de chant qui me demandent de faire des master class devant public. Je le fais parfois, mais surtout pour m’amuser. En même temps, si je peux aider les jeunes à comprendre ce que c’est qu’être un chanteur ou une chanteuse.... Ce n’est pas évident.

Toutes mes citations sont du livre Ginette Reno, par Michelle Chanonat, éditions les Intouchables c 2013.

 

– ANECDOTE 1 – p.58

  • Sur son parcours de vie intérieure : À Paris, nerveuse juste avant de monter sur scène (18 septembre 1967)

  • Ginette embrasse la petite croix en or qu'elle porte au cou et, comme elle le fait toujours, dit à Dieu :

— Ce soir, tu montes sur scène avec moi.

 

– ANECDOTE 2 – p.117

  • Sur son accueil en France par Michel Drucker qui renomme Ginette là : “l'Édith Piaf du Québec” (en 1984)

  • Édith Piaf comme Ginette souffrait de ce mal d'amour, de cet immense besoin d'être aimée qui parfois fait faire des conneries, comme elle disait

 

– ANECDOTE 3 – p.137

  • Une condition imposée pour qu'elle puisse faire carrière au pays de l'Oncle Sam (USA en 1976) :

 

Mais, pour la gloire, les producteurs américains mettent une condition de taille : Ginette doit absolument maigrir pour faire carrière aux États-Unis. Depuis son arrivée à Los Angeles, la chanteuse reconnaît avoir baissé les bras et cessé de compter les calories (en ce temps-là, elle prit 130 livres en un an et demi »

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 Il y a aussi la reprise du classique de Pierre Bordage «Les guerriers du Silence»; cycle 1 seulement que j’ai lu, laquelle a été remouler à la manière de P. Ogaki pour faire une série de quatre tomes. Hélas, le rythme est à mon avis trop rapide, mais comme l’œuvre de Bordage contenait plus de 1800 pages… y’a pas le choix de défilé à vitesse… grand V. Un formidable effort de synthèse a été fait, je l’accorde.

Le seul point un peu faible est qu’on a surexploité les séquences d’actions, à la mode hollywoodienne, alors qu’à mon avis, les auteurs auraient pu rehausser via les dialogues le côté résolument philosophique du roman; ce qui m’a frappé entre autres est ces deux points à :

 

  • Des dérives d’une religion totalitaire associée à un régime politique mégalomane et assoiffé tellement de contraindre les divergents; ça ressemble étrangement au style de pensée unique que les médias et gouvernements nous proposent depuis le début de la crise du Covid-19 de la depuis mars 2020…

  • Secundo, du rôle important que peut jouer une personne ordinaire, en l’occurrence Tixy Otty, héros majeur des «Guerriers du Silence1», homme à la vie morne, qui noie son ennui dans l’alcool, l’indifférence à soi-même et aux autres, se complaisant en une existence médiocre. Celui-ci devient graduellement un héros extraordinaire, pas dû à ces mérites seuls, mais surtout en s’entourant d’une équipe avec lui, et grâce à l’appui de sa partenaire de vie.

 

Bref, que vous lisiez le roman ou les BD, chaque version d’un ou des récits vous apportera de beaux moments de plaisir et de réflexion.

 

 

 

Cordialement, El Griffon