SGA.AEinsteinPrecurseur

Bonjour Lectrices, lecteurs et fouineux de tout genre,

 

Bienvenue en la saison des Biographies: Je vais explorer cette automne, ceux-ci: une personnalité de niveau international/ une entrepreneure Québécoise, et un personnage de Bd fabuleux. Commençant avec Albert E., lequel fut reconnu comme la personnalité phare du XX ème siècle par le Times Magazine, le 31 décembre 1999. un extrait d'article démontre ça, écrit par Jean-Pierre Kerchkhofs, 5 mars 2005. Toutes mes citations viennent du livre « La vida de Albert E. , écrit par Mae Blacker Freeman, aux éditions editores asociados; traduit de l'espagnol par votre humble serviteur et son quasi-indispensable appli «Google Translate»

 

http://www.skolo.org/2005/03/07/einstein-la-personnalite-du-vingtieme-siecle/

Citations d’Einstein; elles vont nous donner une première approximation de sa personnalité:

« Croire en un monde extérieur indépendant du sujet qui le perçoit constitue la base de toute science de la nature »

« La chose la plus incompréhensible du monde, c’est que le monde est compréhensible »

« Le nationalisme est une maladie infantile. C’est la rougeole du genre humain »

« Ce qui fait la vraie valeur d’un être humain, c’est de s’être délivré de son petit moi »

« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire »

« Je vois les hommes se différencier par les classes sociales et, je le sais, rien ne les justifie si ce n’est la violence »

Un jeune garçon si différent de tous; page 7, 11 et 20

a. «- Cette enfant est stupide! Le maître du groupe du primaire signalait le petit garçon qui demeurait muet en son siège avec les mains croisées sur ces jambes....Le maître continua:

-Albert, je t'ai fait une question. Fais la faveur de répondre rapidement. »

 

b. « Comme toujours, Pauline Einstein se pressait à défendre son fils:

• Il est calme parcequ'il pense! Attendez et vous verrez qu'un jour, il sera professeur.»

 

c. « Aussi, la musique lui procurait du plaisir; à la longueur de toute sa jeunesse, il écouta les œuvres de Bach, Beethoven et Mozart. Sa mère était amante de la musique et chaque semaine se réunissait en sa maison un groupe de musiciens amateurs pour jouer. »

 

COMMENTAIRES: a. il était un élève au profil atypique( non-conventionnel),lequel questionnait tout avec ses pourquoi et son désir d'approfondir les sujets abordés, ce qui lui attira bien des moqueries, le mépris des professeurs, des éléves. b. A cause de son côté lent et méditatif, qu'on confondait parfois avec stupidité ou langueur d'esprit, ce jeune garçon fut très tôt soupçonné de n'arriver à rien de bon en la Vie!, surtout en sa famille immédiate et pourtant??? c. Très tôt, la musique occupa une place importante pour lui, laquelle perdura toute sa vie au point qu'il dit: si je n'avais pas fait des sciences, je serais devenu musicien.

 

Jeunesse en Italie et en Suisse; page 31, 35, 40-42 & 47

 

a « il parti le jour suivant, marchant vers le sud...coupant à l'intérieur du pays et errant a travers les antigues villages, nichés en les hauts cols des montagnes. Florence lui paraissait un lieu d'enchantements sans fin, avec tout ses trésors artistiques. Passant de longues heures en méditation, contemplant la belle cité depuis les collines...en la vie d'Einstein, ce fut une saison heureuse et libre de préoccupation. Il revint à Milan, reposé de corps et d'esprit.»

 

b «Finalement se décida qu'Albert essaierait de suivre une carrière en une branche technique. Cela semblait le plus raisonnable, dû à son intérêt pour les mathématiques et que son père se dédiait aux affaires reliées à l'ingénierie électrique.»

 

c «Se fut en ses marches solitaires qu'il put réfléchir en les problèmes de la science, lesquelles occupaient déjà toutes ses pensées...il se fit évident pour lui que la physique serait l'intérêt principal de sa vie.»

d «Quand, arriva la 3 ème année d'études à la polytechnique, Mileva et Albert annoncèrent leur intention de se marier.»

 

COMMENTAIRES: a et b.. Après une période de vagabondage, en leur nouvelle terre d'adoption, ses parents le poussèrent résolument à préparer son avenir; ses études continuèrent en Suisse via le support financier d'un oncle de la famille. Albert eut l'idée brillante d'acquérir la citoyenneté suisse; laquelle fut un élément très utile pour: sa vie personnelle, l'émergence de son esprit analytique si cruciale à la recherche et le début d'emplois fructueux, surtout au bureau des brevets de Berne.

c. & d. À travers ses études en Suisse et ses premiers emplois, son intérêt pour sa spécialité (la physique), s'affina via des échanges enflammés avec des copains d'études. Il découvrit aussi en une collègue de classe Mileva, une femme de grande écoute, qui lui plaisait et ils devinrent partenaires de vie.

 

Premiers succès professionnelles jusqu'à la guerre 1914-1918; page 58, 61 et 85a-85b

 

a. «Presqu'immédiatement se rendit compte monsieur Heller( son patron) que son nouvel employé était tout un succès. Einstein pouvait pénétrer rapidement et instinctivement en la plus intriquée d'un dessein complexe...toute invention qui arrivait à son bureau représentait le travail d'un homme qui possédait une idée, et Einstein le respectait.»

b « Albert E. venait d'envoyer par courrier un rapport scientifique en lequel il exposait le résultat de son labeur intellectuel des années précédentes. Il avait énoncé avec simplicité et clarté les idées développées en relation avec l'espace, le temps et l'univers».

c. «Einstein, qui détestait la guerre avec tout son être vivait alors en la capitale d'une nation en guerre et il se sentait impuissant en une telle situation, sa réaction fut de s'enfermer plus que jamais en son travail...un bon jour, tranquillement, il contracta mariage avec sa cousine( sa première relation étant dissoute) et prit un appartement pour elle et les deux enfants. »

 

COMMENTAIRES: a. & b. Ce fut en ce travail à connotation technique qu'Einstein fit ses premières armes de façon concrète en confrontant le monde des idées au monde de la pratique( en vue de l'application de chacune des inventions soumises au bureau. Un emploi bien rémunéré qu'il aimait et lui accordait du temps pour démarrer l'ébauche de sa théorie sur la relativité. c. En ses jours la, ou il habitait Berlin et ou les bruits et rumeurs de guerre se propageait jusqu'à devenir un fait, le fameux physicien se replia sur lui-même et amorça un deuxième foyer car Mileva( première femme) avait catégoriquement refusé de le suivre à Berlin... ou ailleurs( page 79)

 

 

Devenu Célèbre et montée du Nazisme, page 93-103, 121 & 129

 

a. « Einstein continuait ses labeurs, sans s'exalter pour l'attention que le monde lui accordait; ses habitudes et ses idées demeuraient inaltérables...il était une personne simple, sans manière affectée, qui se sentait toujours heureux de ce qu'on le recevait d'une façon amicale et aimable ».

b. « Il reçut le prix Nobel du Roi de Suède, mais au dela de la gloire que cela représentait, il y avait une donation de 40 000 dollars ( somme fabuleuse en ce temps là)...l'argent était de peu d'importance pour Einstein...il envoya la somme total du prix à Mileva ( sa première épouse), en Suisse afin de l'utiliser pour l'éducation de ses fils. »

c. « L'état démocratique allemand s'affaiblissait de plus en plus. Einstein était grandement inquiet, puisqu'il se rendait compte que le malheureux et opprimé peuple allemand se penchait vers le parti Nazi, lequel était encore petit et disposait de peu de force.»

 

COMMENTAIRES: a. & b. Ici, j'ai voulu afficher son côté modeste, sans prétention, ce qui est hors du commun en le monde des scientistes, ou la vanité et l'orgueuil d'être un pionnier est monnaie courante. Lui, se foutait de sa popularité, parfois même, il restait incrédule devant les marques d'attention dont il faisait l'objet. Son côté modeste s'affichait également en la gestion des finances, même lorsqu'il vint aux USA, ce fut sa femme Elsa qui négocia son salaire, il en était désintéressé. Page 125 et 141

c. Bizarre qu'Hitler ait su utiliser l'appareil démocratique pour monter au pouvoir pour ensuite mieux le détruire. Einstein perçut ce lent glissement et fut inquiet de voir en quelle main le désespéré peuple allemand se tournait pour être sauvé, sans toutefois approuver ce que le peuple faisait.

 

Exil en Amérique et début de l'ère atomique; p134, 139, 145, 148-148, 149-150 et 154

 

a. «En mars 1933, Hitler se convertit en dictateur de l'Allemagne. À recevoir cette nouvelle, précisément, quand il quitta la Californie pour revenir à Berlin, il se décida à couper tout lien avec l'Allemagne. »

b. «Einstein ne pouvait demeurer en aucun pays proche de l'Allemagne, car éxistait toujours la possibilité qu'un assassin se glisse à la frontière pour essayer d'obtenir pour soi, ''le triomphe'' de liquider un homme qui se trouvait sur la liste noire des nazis.»

c. «Elsa était morte à Princeton en 1936 et fut enterrée en un petit cimetière rural des environs. »

«La vie était tranquille aux U.S.A , mais en Allemagne, Hitler s'était convertie en un fou furieux...Einstein sentait profondément la souffrance du peuple; à personne qui lui demanda, il refusait une quelconque forme d'aide même quand souvent, c'était impossible pour lui de faire tout ce qu'il aurait voulu faire. »

 

d. «Les allemands comprennent les possibilités de la force atomique, Dr. Einstein dit un des hommes, parlant avec hâte et rapidité...les états-unies peuvent le faire, doivent le faire avant que le fassent l'Allemagne...la lettre qu'il écrivit ce jour-là au Président Franklin Roosevelt signala le début de l'ère atomique.»

e. «Mais Einstein ne voyait rien de la paix en son jardin d'été; il contemplait en ses pensées les ruines causée par la bombe atomique au Japon et se sentait profondément ému...la responsabilité pesait durement sur sa tête inclinée.L'homme qui était assis là, était un être pensif, fatigué qui désespérément hébergeait l'espérance que son influence serait assez grande pour leur faire comprendre les terribles conséquences de l'usage indu de l'énergie atomique.»

 

COMMENTAIRES: a.& b. En la décade 1930, le célèbre physicien dut se résoudre à couper les ponts de façon drastique avec l'Allemagne pour une période indéterminée, car la situation politique, représentait un danger pour sa survie.

100. La mort de sa seconde femme le laisse seul, il semble qu'il n'ait pas recherché à nouer, par la suite une nouvelle relation conjugale avec qui que ce soit.

 

d. & e. Il reçut un jour la visite de deux hommes de sciences, lesquelles se réfugiaient aux U.S.A et qui eurent un entretien avec A. Einstein sur la possibilité que les Nazis obtiennent la bombe atomique. Ils le pressèrent d'agir, ce qu'il fit en écrivant au président américain pour amorcer des recherches sur la dite bombe, cela aboutit en le projet Manhattan¹. Toutefois, le physicien fut très secoué lorsqu'il vit l'usage qu'on en fit à Hiroshima et à Nagasaki , drôle d'ironie pour un pacifiste convaincu.