La Lune est Blanche2

Chers Griffonautes, Griffonnauteeees,

Bienvenue en cette suite de « La Lune est Blanche ¹» avec les frères Lepage. Pour plus de détails, voyez les vidéos sur mon site. Pour la lecture des commentaires pairés aux cases; de gauche à droite ou de haut vers le bas( avec les tablettes/ cellulaires)

PC4: De quelle façon ces cases communiquent un aspect émotionnel via une position du corps ou un facial?

• Le premier cliché montre la joie d'une aventure partagée via la face et les mains. En la seconde, le regard oblique/ la face crispée et le dos courbé; tout montre l'appréhension et la déception. La photo montre des mines inquiètes; regard vers le bas ou dans le vide, front plissé.

• 4. Toutes les expressions en ces quatre cases montrent un état d'attente anxieuse avec un sens du descriptif fabuleux. 5 En celle-là, c'est le cœur d'enfant qui émane, un laisser-aller et l'insouciance.

PC5: En quoi ces planches / encadrés suscitent l'imaginaire du lecteur?

• Cette série d'images révèlent un jeu habile de superposition des formes ou le scénariste met en visuel ces aspirations ...comme lecteur, on s'associe facilement à la scène. 2 La photo montre quelqu'un en train de révasser...qui n'a pas eut un de ces temps bénis ou on s'évade ailleurs en un voyage virtuel nul part et partout à la fois! En cette 3ème case; les contrastes entre bleu et blancs, entre solides et liquide réveillent les rouages du Désir, lesquelles trop souvent sommeillent en chacun de nous.

• 4. Ce cliché de style onirique montre l'artiste en soi, lequel trouve sa place en ce monde par les actions de: son art, de son hobby, de son loisir. 5. Ce dessin avec l'astre solaire auréolé de mystère dévoile le côté fascinant de tout voyage entrepris, avec son lot de surprises, d'imprévues, de découverte, de déceptions et frustrations aussi.

PC6: Le personnage central de l'histoire( scénariste), démontre t-il une capacité à s'adapter et de la résilience en les difficultés du périple?

• 1. Il accepte avec sérénité la décision de ne pas faire partie du raid vers la base DDU( au cœur du continent). Les cases 2 & 3 sont sur le même thème; les deux frères décident de négocier pour avoir le privilège de faire le parcours ensemble; après l'instant du lâcher-prise, c'est la combativité qui prend le momentum en eux; Francois/ Emmanuel

• 4. Il se sent comme sur une autre planète, sentiment d'étrangeté, moment de répit loin du cordon sécurisant de la troupe, puis ayant goûter à un peu de solitude, il revient au nous. 5. En cette dernière série; il réalise l'impact de l'homme sur son milieu et en ses mots, décrit le caractère pur et précieux de cette biosphère qui nous entoure et dont on oublit facilement sa grande valeur et le fait qu'on dépend d'elle pour vivre.

PC7: Ces séries de cases qui mettent en avant une situation spéciale...

• La première planche étale la féroce compétition entre les deux équipes en route pour atteindre le pôle Sud, un fait historique bien documenté que le scénariste a brièvement dépeint. Secundo, cette planche ou ils se débattent sur le pont pour resté debout est ma préférèe; quoique ce genre d'échange technique a lieu généralement autour d'un repas ou d'un drink, ici de l'avoir située sur le pont d'un navire balayé par les vagues, y met une touche piquante et amusante à la fois, ça donne envie de plonger vers l'aventure...

• 3. Le rêve d'aller en Antarctique se met en marche, j'aime bien ce décalage graduel entre le réalisme( partie gauche du dessin) et le symbolisme, en douceur avec le changement des teintes graduelles...vers la droite), la ou les manchots et les silhouettes paraissent détachées du tangible. Je peux me tromper, mais il me semble que le créateur a voulu illustrer un pont entre le monde réel et celui du désir ou, autrement dit: un pont entre le virtuel et le concret.

• 4. Une démonstration de ces vents puissants, dénommés «catabatiques» lesquelles dominent sur la «quasi-lunaire» étendue blanche. Les scènes pigmentées de noires représentent bien la force rageuse des vents, ces images sont très réussies.

• 5.La ici, la convivialité est faite de câlins, de blagues et d'échanges chaleureux. En cet univers hostile, l'entraide et la solidarité entre chacun crée une sorte de nécessité d'un «nous fort» pour chacun, ce qui me semble ressortir de la photo.